The topics of this blog are Armand-Jean du Plessis, Cardinal Duke of Richelieu, and the IDEAL CITY built on his command next to his magnificent CHÂTEAU on the borders of Touraine, Anjou and Poitou, in France.

Friday 18 March 2011

The head of Henri IV, 'le vert gallant' - Father of Louis XIII



A recently found blog about Paris, Peter's Paris, directs us to an article on the rediscovery of the head of King Henri IV, the founder of the Bourbon dynasty, father of Louis XIII, grandfather of the the Sun King, Louis XIV, protestant-turned-cathothic - 'Paris is worth a Mass', pacifier of the 'Wars of Religion', assassinated by the crazy François Ravillac on 14 May 1610, general lothario and priapic beast (cf Louis XIII!).

Click HERE for the story.



http://en.wikipedia.org/wiki/Louis_Alphonse,_Duke_of_Anjou
Lost heads are becoming a bit of a theme

Click HERE for what happened to the head of the cardinal duc de Richelieu

Or HERE for the droll story of composer Joseph Haydn's bonce.

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Saturday 12 March 2011

Press release on the 'Richelieu to Richelieu' exhibition

The triple exhibition Richelieu à Richelieu started today, the 12 March 2011, and will run for three months until 13 June 2011.
The three locations are:

http://www.loirevalleytourism.com/actu/richelieu-exhibition.html

Below we reproduce the press release for the exhibition (in French)
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Friday 11 March 2011

Bernardo Strozzi - 'The personification of Fame'


Bernardo Strozzi (1581-1664) painted it in 1635-6, and it is thought that it was displayed at the head of the grand staircase in the former château de Richelieu.

The painting is a relatively late work, probably from the early years of Strozzi's Venetian period, about 1635-6. It is a far from idealised study of a girl in a darkened setting, equipped with the wings that Fame traditionally possesses. The light falls brightly from the left, highlighting the inquiring face of the sitter and details of her costume, which shows to advantage the distinctive handling of the painter. 

In representations of Fame the figure usually holds a single trumpet, or two of different lengths, symbolising good and ill fame. The significance of the two instruments represented in Strozzi's painting, a golden trumpet and a wooden shawm, is unclear; maybe trumpet for fame and shawm for infamy?

This picture is in the National Gallery London, Room 32.


Richelieu was an important patron of the arts. Portraits of him by Philippe de Champaigne are in the National Gallery collection. The 'Triple Portrait of Cardinal de Richelieu' was intended as a study for a bust by a Roman sculptor. The collection also includes this image of Fame by Bernardo Strozzi, which may have graced the entrance to his château, and Poussin's 'TheTriumph of Pan', which he had commissioned himself.

The painting on the wall in Gallery 32 - it is quite big: 105h x 150w.
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Monday 7 March 2011

Article in 'Figaro' by ERIC BIETRY-RIVIERRE


Sur les vingt œuvres,qui célébraient les campagnes militaires menées par Louis XIIIet son cardinal, il n'en subsiste que douze.Trois sont exposées au château de Versailles. Les neuf autres,en auvais état, sont entre les ains d'une équipe de restaurateurs.



Sur les vingt œuvres,qui célébraient les campagnes militaires menées par Louis XIIIet son cardinal, il n'en subsiste que douze.Trois sont exposées au château de Versailles. Les neuf autres,en auvais état, sont entre les mains d'une équipe de restaurateurs. Crédits photo : Le Figaro

Ces grandes toiles, qui ornaient le château du cardinal en Touraine, sont en cours de restauration. Elles seront enfin exposées ensemble au printemps 2011. 

Peu à peu, sous la main minutieuse de Sarah Destrez, de petits mousquetaires réapparaissent. Son pinceau fin court sans hésitation d'un pilulier transformé en boîte à couleurs à la surface de la toile abîmée. À Versailles, cette restauratrice use ses beaux yeux à restaurer des tableaux anonymes couverts de milliers de soldats, endormis dans les réserves et devenus, au fil des ans, autant de puzzles lacunaires.
Est-ce le jeune d'Artagnan qu'on aperçoit au loin face aux troupes des Habsbourg d'Espagne et d'Autriche, dans cette immense vue à vol d'oiseau du combat du Pas de Suse peint quelque temps après 1629? Ce n'est pas impossible, estime Nicolas Milovanovic. Brillant érudit -il vient de cosigner l'excellente exposition «Louis XIV, l'homme et le roi»-, ce conservateur au château supervise depuis octobre une équipe de neuf spécialistes chargés de redonner tout son lustre à ce qui subsiste du programme iconographique de la Galerie des batailles du château de Richelieu (Indre-et-Loire). Un lieu légendaire, considéré comme l'un des plus beaux d'Europe, malheureusement entièrement détruit au XIXe siècle.
La galerie comportait vingt formats d'environ 3,30 m sur 2,60 chacun qui célébraient les campagnes militaires menées par Louis XIII et son cardinal, de 1627 à 1636. Ils servirent de modèle pour le Grand Condé à Chantilly, pour le duc de Lorraine à Lunéville et pour Louis XIV au réfectoire des Invalides et à Versailles. Sur ces vingt œuvres, douze existent toujours. Trois sont en bon état et sont présentées au château de Versailles depuis que Louis-Philippe y a créé un musée d'histoire de France. Les neuf autres, trop encombrantes, n'ont encore jamais été vues par le grand public. Dans les réserves du château, mal protégées, elles se sont délabrées.
Le départ en 2007 de la questure de l'Assemblée nationale et du Sénat ayant libéré les anciens appartements du comte de Provence dans l'aile du Midi, un atelier de belle hauteur de plafond et bien éclairé a pu y être aménagé. C'est ici que Le Siège de l'île de RéLa Réduction de NîmesLa Soumission de Montaubanou La Levée du siège de Casal sont actuellement nettoyés, complétés et rentoilés sur des châssis assainis.
L'opération, dont le coût dépasse les 377 millions d'euros, est financée par des mécènes comme le Crédit agricole et la Fondation du patrimoine, une souscription publique, le Musée des beaux-arts d'Orléans, celui de Tours et la ville de Richelieu. Ces trois dernières institutions ont prévu d'organiser en mars une triple exposition sur les décors et collections du cardinal acquis et commandés pour l'ornement de son château familial tourangeau, développé sur les plans de Jacques Lemercier en 1631.

Richesses d'Europe 
Y seront bien sûr montrés les neuf tableaux de batailles mais aussi quelques-unes des pièces les plus insignes du fonds de peintures, de sculptures, d'objets d'art et de mobilier qui forment aujourd'hui le cœur du patrimoine conservé au Louvre. Les prêts demandés sont ambitieux. À Richelieu, le cabinet du roi abritait les Mantegna, Pérugin et Lorenzo Costa provenant du studiolo d'Isabelle d'Este à Mantoue, ainsi que les Bacchanales de Poussin (qui sont aujourd'hui à la National Gallery de Londres et à Kansas City).
Quant aux antiques (deux cents statues et bustes environ) réunis pour occuper les niches des façades, ils constituaient l'une des toutes premières richesses d'Europe, avec notamment Les Esclaves de Michel-Ange. Après l'exposition, l'établissement public du château de Versailles demeurera propriétaire de ses neuf batailles restaurées mais il a accepté une mise en dépôt de longue durée dans les musées organisateurs de cette manifestation.
L'exposition «Richelieu à Richelieu» sera présentée simultanément par les Musées des beaux-arts d'Orléans et de Tours et la ville de Richelieu du 11 mars au 12 juin 2011. Informations : www.musees.regioncentre.fr

Sunday 6 March 2011

Data on the town


This site has all sorts of data on the town of Richeleiu,
including the phone directory for all the inhabitants.

Give it a whirl!

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Tuesday 1 March 2011

The Wallace Collection 3

Three paintings much in the taste of the cardinal duc 
and his collection at le château.

"These classical projections, and something from the fire, suddenly suggested Poussin's scene in which the Seasons, hand in hand and facing outward, tread in rhythm to the notes of the lyre that the winged and naked greybeard plays. The image of Time brought thoughts of mortality: of human beings, facing outward like the Seasons, moving hand in hand in intricate measure, stepping slowly, methodically sometimes a trifle awkwardly, in evolutions that take recognizable shape: or breaking into seemingly meaningless gyrations, while partners disappear only to reappear again, once more giving pattern to the spectacle: unable to control the melody, unable, perhaps, to control the steps of the dance."
Anthony Powell - 'A question of upbringing'

A nativity by Phillipe de Champaigne with a neo-classical cabinet & statue

A fragment of another canvas by Philippe de Champaigne with an urn.
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